En 1983 paraissait un livre d'une autrichienne Maria Treben.
Le professeur Docteur Carl ALKEN de l'unisvrsité de la Sarre justifie le tournant amorcé par la faculté vers les claires forces de la nature par cette déclaration :

" Après la deuxième guerre mondiale, les médecins étaient pratiquement désarmés devant la tuberculose et le blocage des reins. Puis ce fut l'avènement des antibiotiques et aujourd'hui il faut reconnaitre les résultats négatifs dus pour une part, à des doses trop élevées et d'autre part, à un usage inconsidéré des anti-biotique.

A cela vient s'ajouter une avalanche de resistances cryptogamiques qui est déclanchée par des troubles de l'équilibre biologique normal dû aux abus des médicaments et aussi à des modifications de l'environnement".

Ce livre m'a fait beaucoup reflechir alors que j'étudiais l'ethnologie et que mon sujet était les toponymes dans le vignoble alsacien et le cycle de la lune dans le monde africain.

Maria Treben raconte qu'à la chandeleur 1961 mourut sa bonne mère. A partir de ce moment elle fut attirée par le monde "des simples"et progressivement elle a sentis grandir en elle le sentiment de sécurité parmi les palntes. C'est avec certitude qu'elle suivit ce chemin et rédigea à Grieskirchen en mai 1980 son ouvrage

LA SANTE A LA PHARMACIE DU BON DIEU.

Je découvris avec tristesse toute les contradictions dont elle fut la cible allant de l'Eglise à la Medecine.

En parralèle je découvris durant mes études de théologie Rudolf Steiner. Ce fut le déclic. Je dû attendre 30 ans pour convaince mon mari grâce à notre fils de passer enfin à l'action dans nos vignes.