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HISTOIRE DU TOPONYME DE LA RUE

 
Histoire du Toponyme de la rue où est situé la Maison de Champagne Gabriel BOUTET 
au 40 de la  rue Paul Louis Lucas à CUMIERES
 
Paul LOUIS LUCAS est né à Reims, le 11 Février 1853. Il est le fils de Joseph  LOUIS-LUCAS, clerc de notaire devenu notaire par la suite et de Pauline Marguet .
Le goût de son père pour les sociétés savantes (il était membre de la Société archéologique de Soissons, de l'Académie de Reims, de la Société fisico-medico-statistica de Milan, de la Société des études historiques) semble avoir été transmis à son fils.
Paul  Louis- Lucas s’est marié avec  Charlotte Planchard de Cussac,  à Paris le 14 Mai 1883 à Paris. Charlotte est née en 1862 à Paris .Enfant naturelle, non reconnue par son père. Sur le  faire part de décès de Charlotte on peut lire "comtesse de Cussac, chanoinesse". Elle est décédée à Dijon à l'âge de 90 ans le 25 mars 1919.
 
Paul Louis Lucas et Charlotte eurent deux enfants Pierre et Henri
Paul Louis Lucas est décédé subitement en fonction à son retour des fêtes de Strasbourg où, après le rattachement de l’Alsace à la France, l'on venait de célébrer le rétablissement de l'Université française le 27 Novembre 1919 à Dijon.
 Source : Journal des débats politiques et littéraires du 2 avril 1919
Paul LOUIS-LUCAS est agrégé de la faculté de droit de Dijon professeur titulaire d’une chaire de droit financier public et privé, professeur de législation et droit financier,  et il donne des cours de notariat et d’enregistrement à la faculté de droit de Dijon jusqu’au 20 mars 1910.
Il a publié de nombreux ouvrages toujours disponibles.
Etude sur la vénalité des charges et fonctions publiques et sur celles des offices ministériels depuis l'antiquité romaine jusqu'à nos jours, thèse de doctorat, 1882. Du rôle et de l'organisation du pouvoir législatif dans les sociétés modernes,1892, traduction avec M. Weiss du Manuel des Antiquités romaines de Mommsen et Marquardt ; traduction et annotation de l'ouvrage de H. Lammasch, Le droit d'extradition appliqué aux délits politiques,1885.
Les informations présentées ici sont issues des dossiers de carrière (sous dossier ampliations) ou –à défaut – du Bulletin Officiel du Ministère de l’Instruction Publique ou encore du Journal Officiel.
Liste de références
identifiant dans Id Réf: 057514887 Directeur de publication : Bernard Hours
 

HISTORIQUE


 

Une des plus ancienne trace de Cumières remonte au XIème siècle.

 

En effet, en 1095, les moines de l'Abbaye d'Hautvillers, décident la translation des reliques de Sainte Hélene. Cette manifestation est l'occasion de l'organisation d'une grande fête à laquelle sont conviées de nombreuses personnalités de l'église.

 

Renault 1er, Archevêque de Reims, qui avait été auparavant moine d'Hautvillers, et qui, empêché d'assister à la cérémonie, obligé qu'il était d'assister au concile de Clermont, donna et unit à perpétuité en l'année même 1095, au susdit monastère, les paroisses de Sainte Marie à Pié, d'Ardigny, d'Aigny, d'Ay, de Chouilly, de Plivot, de Cuis, de Saint Julien, de Pierry, et de Cumières.

 

L'histoire de notre village fut ainsi liée à celle d'Hautvillers pendant 6 siècles.

Il est à noter que les plus importantes manifestations de la région se déroulaient au lieu dit "les Montécuelles" à l'extrême est du village (mons collis = mont environné presque entièrement d'une vallée) car il permettait de réunir plus de 10 000 personnes.

Pourtant batie à la limite du diocèse de Reims, Cumières avait une partie de ses habitants qui pour le spirituel, ressortissaient de la juridiction du curé de Damery, diocèse de Soissons.

 

Or, en 1662, Cumières qui disposait d'une chapelle et d'un vicaire, aspirait à devenir une cure indépendante. Les choses s'arangèrent à l'amiable entre l'évêque de Soissons et l'archevêque de Reims... par un échange contre Pierry (traité du 8 octobre 1694). Le village comptait alors 800 âmes. Il fut érigé une paroisse indépendante en 1697.

 

Vers le milieu du XIIème siècle, DROGON, écolâtre de Reims, professeur de droit civil, mort en 1272, a composé les vers suivants qui attestent qu'il y avait déjà des vignes et que l'on y produisait du bon vin :

 

 

Voulez-vous vivre ici-bas d'une manière agréable ?

Allez goûter les délices de CUMIERES.

C'est un séjour céleste,

Là, la tristesse se change en joie,

Plus de chagrin, plus de maladie, plus de pauvreté.

Les vieillards retrouvent l'adeurs de leurs jeunes ans

Et les étrangers sont enfants du pays.

C'est, à juste titre, qu'après l'avoir vu,

On le dit semblable au paradis terrestre.

 

Salut ! terre nourricière de tes enfants ;

C'est de toi que vient tout bien parfait !

Devant toi, toutes les autres contées se taisent

Et il n'est aucune raison qui puisse t'ôter la préférence

C'est la patrie du Seigneur

 

C'est là qu'habitent Dieu, la vierge Marie, tous les saints.

C'est pour cette contrée que Bacchus, avec ses parfums et ses saveurs,

abandonne les autres pays.

C'est là que la vigne partout produit une boisson agréable.

Et voici que tes vins sount renomés à juste titre pour leur abondance.

Ô Cumières, et ce n'est pas une simple parole, si l'on veut parler franchement.


En 1716, par l'ordonnance du vicaire général de l'Archevêque de Reims, la chapelle St Jean Baptiste de Cumières devait être agrandie et réparée, car on la qualifiait "d'édifice assez minable, pour que, chaque jour, on pu craindre, non sans raisons, de se voir enseveli sous ses ruines."

 

Les choses ne furent pas simples, car déjà à cette époque, l'argent était au centre des préoccupations. Cumières chercha vainement, semble-t-il, ce que l'on appellerait aujourd'hui, des subventions, et finalement décida de réaliser les travaux avec les économies de quelques citoyens, dont le Maire de l'époque, "Mr Claude Poittevin, Maire perpétuel"

 

Chacun apporta contribution et une nouvelle église s'éleva sur les fondation de l'ancienne chapelle (son emplacement actuel).

 

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